Un ami de la poésie, 1832
Surprise agréable que de tomber, dans deux registres de l'Enregistrement, sur quelques versets latins - que je suppose bibliques (signés Job) - et surtout sur deux poèmes. Pages de garde et mise en bouche originales pour deux registres de mutation par décès (c'est-à-dire les registres qui listent les actes qui ont donnés lieu à des partages entre héritiers ou à des successions suite au décès d'un individu).
La mort a des rigueurs à nulle autre pareille
On a beau la prier
La cruelle qu'elle est, se bouche les oreilles
Et nous laisse crier.Le pauvre en sa cabane où le chaume se couvre
Est sujet à ses lois
Et la garde qui veille aux barrières du Louvre
N'en défend pas nos rois.