Les décès sont parfois difficiles à trouver, alors il faut ruser. On tâche par exemple de réduire la fenêtre chronologique acceptable, entre une mention de l'individu "vivant" sur l'acte de mariage de son enfant, et un âge canonique maximum. Lorsqu'on ne trouve pas l'acte de décès dans la commune "habituelle" (celle de vie, où les enfants sont nés par exempleà, on tente de deviner la dernière résidence (communes alentours, lieu de vie des enfants devenus adultes). Bref, en théorie, je pense que les décès sont le parent pauvre de mes données, aussi bien en terme de dates trouvées (c'est-à-dire saisies dans mon logiciel, mais pas forcément vérifiées) et d'actes collectés (images des actes enregistrés sur mon disque dur et validant les dates saisies).

Erreur ! Et surprise : que l'on considère les dates de mort des ancêtres dénombrés, ou du côté des actes récoltés, j'ai trouvé plus largement plus de décès que de naissances. Les mariages sont les plus nombreux côté dates saisies, mais les dates de décès ne sont pas aussi décrochées que ce que je pensais.

Parmi les ancêtres dénichés, j'ai une date de décès pour 44% d'entre eux ; les actes de décès ou de sépultures représentent 43,5% des actes dont j'ai une copie.

 

Pour quelques-uns de mes ancêtres, j'ai pu préciser des causes de décès : 14 de maladie (mentionné sur l'acte), 10 de noyade et 18 de suite de couches (soit mentionné, soit déduit peu après une naissance).

 

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