Treize (sosas) à la douzaine, ou presque : une épine généalogique en moins
Il y avait ce 26 janvier 2020 un sacré alignement de planètes généalogiques, pour qu'au détour d'une petite heure à généalogiquement zoner sans vraiment de résultats, se défasse sous mes yeux ahuris, un paquet de noeud d'ancêtres bien serré.
Depuis 2007, l'ascendance de mon sosa 100 tout rond, Adolphe Désiré François MENEAU (1822-1865), s'arrêtait nette :
- j'avais son acte de décès en 1865 (acte de décès intégral, ce qui, à Paris, est un détail qui compte), à l'âge de 43 ans ;
- une potentielle date de naissance concordante avec l'âge de décès, avec un acte reconstitué au nom d'Adolphe François MENEAU, né le 26 décembre 1822 à Paris faubourg Saint-Martin 296, 5e arrondissement (ancien)
- des parents cités dans cet acte de naissance, portant des patronymes... plutôt courants : Claude Meneau, domestique et Marie Jeanne Honorine Leclerc.
J'ai épluché plutôt deux fois qu'une les fiches de l'état civil reconstitué parisien aux noms de Meneau, Menault, Leclerc, Leclere and co, ou encore les registres d'admission aux hôpitaux de Paris lorsqu'ils étaient consultables en ligne, etc. Toujours sans résultat.