L lille rue hannetonsEt dire que je n'y ai pensé que la veille du jour fatidique de publication de ce L.

Lille, son beffroi, ses briques rouges, son équipe de foot Peau douce, ses gaufres, sa citadelle Vauban, son potjevleesch, son accent, ses chouettes lieux culturels, sa braderie, son ciel bas parfois et sa chaleur... Faute de temps et de proximité géographique, j'ai mis très longtemps à m'y rendre pour la première fois. Sur le papier, il y avait de grandes chances que j'apprécie... Ca n'a pas manqué, même au mois de décembre. Lille, où je retourne toujours avec plaisir. 

Lille, ville natale et d'enfance du grand-père de R., et où ont vécu toute leur vie ses arrières-grands-parents, Robert François (1906-1993) et Yvonne Delrue (1904-1987). Rue des Hannetons, des briques rouges, le jardinet derrière.

Lille, où se sont aussi rencontrés, fréquentés et mariés en 1838 Antoine Verquin (1814-1885), mulquinier, originaire de Saulzoir (67 km au sud-est), et Rosalie Lieppe (1806-1807), employée comme cuisinière, native d'Esquerchin (37 km au sud de Lille). Certes, il était temps de se passer la bague au doigt : Edmond Xavier était né depuis 10 jours, "provenant de leurs oeuvres"...

Mais pour finir, il faut quand même admettre que l'attraction généalogique de la branche ch'timi était plus valenciennoise que lilloise, plutôt les bords de l'Escaut que les bras de la Deûle...

Pour aller plus loin

 

 

 

 

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