Devinette marine
Quel est le point commun entre :
- Saint Nom de Jésus
- La Mouette
- Saint Joseph
- Saint Nicolas
- Berceau du marin breton
- Ne t'en fais pas
- Je suis arrivé
- Galopen
Quel est le point commun entre :
Arrivée d'un petit nouveau dans la blogosphère, qui plus est, un blog cousin.
Flashback : Jean Joseph LEBIGUAIS (1806-1878) est préposé des douanes sur les côtes sud du pays bigouden (Loctudy, puis Le Guilvinec). Veuf en premières noces de Marie CHARMES (1815-1837), il se remarie à Barbe LE QUILIEC (1809-1866) le 5 juillet 1837 au Perguet (Fouesnant). Le couple élève 8 enfants, dont Jean, né du premier mariage. Ce dernier (33 ans), Louis (17 ans) et François (13 ans) seront retrouvés sur la grève de Treffiagat le 14 janvier 1869...
Les deux autres fils sont eux aussi marins...
Pierre Jean BIGUAIS (ép. LE COSSEC) 1839-1894 Marin |
Joseph Marie BIGUAIS (ép. LE BEC) 1846-1889 Marin |
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Corentin BIGUAIS (ép. TANNIOU) 1876-1919 Marin |
François BIGUAIS 1876-1947 Marin |
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Pierre BIGUAIS (ép. GUEGUEN) 1899-
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Désiré BIGUAIS (ép. LE BRUN) 1901-1958 Employé |
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xx BIGUAIS |
xx BIGUAIS |
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Ti ar Martolod |
xx BOURDIC |
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Ti ar Martolod (l'abri des marins) vous fait voyager sur les cotes bretonnes. Le principe est original : chaque post correspond à une date anniversaire, qu'il s'agisse des 111 ans de Françoise ou les 310 ans d'Anne... Le tout très riche d'informations et d'illustrations.
Et voilà comment notre brave aïeul Jean Joseph LE BIGUAIS se retrouve avec une descendance virtuelle : deux blogs généalogiques !
L'heure des bilans a sonné. 2008 a rimé avec découvertes, nouveautés et changements.
Et les statistiques du site alors ? à ce jour, le site a accueilli environ 1 500 visiteurs uniques absolus... depuis que les stats sont activées, soit depuis la mi septembre 2008.
De partout :-) ! La France représente 80% des internautes qui atterrissent ici (normal, vu le sujet des articles et surtout la langue). Mais il y a également eu des visiteurs canadiens (33), et quelques européens, américains, latinos américains, marocains (8), algériens (2), chinois (6)... PS : non la grosse boule nantaise ne représente pas uniquement mes propres visites.
La majorité d'entre vous accède au site par le biais de sites référents, principalement le blog Geneanet, Netvibes, mon ancien blog (qui vit ses dernières heures) et le blog Des racines et des êtres. Côté moteur de recherche, Google écrase ses concurrents, avec des recherches concernant les prénoms originaux, les archives en ligne, et le nom de mon site (la Revue française de généalogie est passée par là).
Dans les requêtes originales :
Tout mène à la généalogie (voir aussi sur le blog de Raphaël ici et là)...
Il est temps pour moi de vous souhaiter à tous, généalogistes et visiteurs tombés ici par hasard : BLOAVEZH MAD 2009 !
25 décembre 1918. Premier Noël de paix.
Les hommes encore debout sont souvent encore au front. Ils attendent, hagards dans le silence effrayant après la tempête.
Premier maître timonier sur le cuirassé Vergniaud à la fin de la Première Guerre mondiale, Louis CAUSER est né le 5 mars 1875 au village de Bourigau, commune de Plœmeur (Morbihan). Trois sœurs, dont mon aïeule Adélaïde Amélie (1873-1899) et deux frères, nés du mariage du marin Yves CAUSER (né en 1843) et de la repasseuse Jeanne LE ROUX (1847-1896).
A Plœmeur (Morbihan), Marie Françoise GOUANNIC attend le retour de son mari. Un autre mal va emporter plus de personnes que la boucherie des tranchées. Louis CAUSER n'en reviendra pas... Il meurt le 25 décembre 1918 de la grippe à l'hôpital de Messine (Sicile).
Il repose sur le monument aux morts de Larmor-Plage, 4 lignes sous le nom de son neveu, Charles Bourdic.
Ou quelques mots sur celle qui me fait tourner en bourrique depuis pas mal de mois. Je remontais tranquillement l'ascendance de Marguerite CHAUFFOUR [sosa 213], tout se passait le plus simplement du monde. Elle est née le 20 nivôse an III (29 décembre 1794) à Cour-Cheverny (Loir-et-Cher) ; son père Jacques (1738-1813) est vigneron et sa mère se prénomme Marguerite BURON. Jusque-là, tout va bien...
La logique voudrait que je cherche le mariage un peu avant (quoique des fois, il faut se méfier...). C'est chose faite : le 10 novembre 1792 à Tour-en-Sologne, Jacques CHAUFOUR, fils de Jacques et de Marie JOULIN, veuf d'Anne AROUY, épouse Marguerite BURON, fille de Jean et de Marguerite PROUTEAU. D'après une cousine qui m'a contacté et les relevés de Bigenet, il n'y a qu'un couple dans ce coin de Sologne qui correspond aux parents de ma Marguerite : Jean BEUZON (1735-1781), originaire de Valençay (Indre) et Marguerite PROUTEAU, mariés le 30 septembre 1766 à Cour-Cheverny.
Et c'est là que les problèmes commencent et que les actes donnent quelques éléments, parfois contradictoires.